Que faire quand on a rien à faire ?
Tout d' abord, je tiens à tous vous remercier pour vos vœux de guérison. Tout s' est bien passé. Merci :)
Que faire donc quand on a rien d' autre à faire qu' à attendre dans une chambre d' hôpital ?
On lit . Mais quand les yeux brûlent sur le livre, on regarde la télé.
Quel beau spectacle que celui du petit écran !
Zapper à mort pour louvoyer entre les pubs, et tomber sur un programme au titre flatteur, qu' on peut traduire par "Miracle " .
D' abord, une prestation charmante : un gamin d' une douzaine d' années qui joue de la flûte.
En fait il joue de 2 flûtes en même temps . Une dans la bouche, et la seconde dans la narine. ( Je me souviens qu' il y a pfffft années, Maurice Baquet avait un numéro analogue. Il jouait en soufflant par le nez dans je ne sais plus quel instrument ). A la fin de son numéro, le gamin, joue 2 airs différents avec ses flûtes.
A sa suite, deux " artistes" américains.
Il parait qu' ils ont fait le tour du monde. Moi, je me demande de quel monde ?
D' abord une femme. Aussi mammelue que Lolo Ferrarri ( enfin presque). Mais, naturel, précise-t-elle !
Numéro : écraser des cannettes de coca avec son sein droit.
Et moi, aussitôt, en la voyant faire, j' ai repensé à la chanson de Brassens "Gare au gorille " , quand " la plus grasse de ces femelles, ouvrant son corsage dilaté, matraque à grands coups de mamelle ceux qui passent à sa portée" .
Ensuite, le pétomane de service.
Collant moulant bleu-ciel, et loup assorti.
Dans toutes les positions, et sur commande, il " craquait des louises"....
Le moment le plus dangereux, fut quand il a éteint une bougie .Nous avons eu droit à une belle flamme. Un mini coup de grisou !
Ecœurée, j' ai éteint et je suis allée à la cafet de l' hosto, m' en griller une avec un bon café.
Rectificatif :
Merci à Jean-Marie de me signaler que ces "mégères gendarmicides " que je cite sont dans la chanson " Hécatombe" et non pas dans "Gare au gorille " .
Erreur d' autant plus impardonnable que je suis une inconditionnelle de Brassens.
Que faire donc quand on a rien d' autre à faire qu' à attendre dans une chambre d' hôpital ?
On lit . Mais quand les yeux brûlent sur le livre, on regarde la télé.
Quel beau spectacle que celui du petit écran !
Zapper à mort pour louvoyer entre les pubs, et tomber sur un programme au titre flatteur, qu' on peut traduire par "Miracle " .
D' abord, une prestation charmante : un gamin d' une douzaine d' années qui joue de la flûte.
En fait il joue de 2 flûtes en même temps . Une dans la bouche, et la seconde dans la narine. ( Je me souviens qu' il y a pfffft années, Maurice Baquet avait un numéro analogue. Il jouait en soufflant par le nez dans je ne sais plus quel instrument ). A la fin de son numéro, le gamin, joue 2 airs différents avec ses flûtes.
A sa suite, deux " artistes" américains.
Il parait qu' ils ont fait le tour du monde. Moi, je me demande de quel monde ?
D' abord une femme. Aussi mammelue que Lolo Ferrarri ( enfin presque). Mais, naturel, précise-t-elle !
Numéro : écraser des cannettes de coca avec son sein droit.
Et moi, aussitôt, en la voyant faire, j' ai repensé à la chanson de Brassens "Gare au gorille " , quand " la plus grasse de ces femelles, ouvrant son corsage dilaté, matraque à grands coups de mamelle ceux qui passent à sa portée" .
Ensuite, le pétomane de service.
Collant moulant bleu-ciel, et loup assorti.
Dans toutes les positions, et sur commande, il " craquait des louises"....
Le moment le plus dangereux, fut quand il a éteint une bougie .Nous avons eu droit à une belle flamme. Un mini coup de grisou !
Ecœurée, j' ai éteint et je suis allée à la cafet de l' hosto, m' en griller une avec un bon café.
Rectificatif :
Merci à Jean-Marie de me signaler que ces "mégères gendarmicides " que je cite sont dans la chanson " Hécatombe" et non pas dans "Gare au gorille " .
Erreur d' autant plus impardonnable que je suis une inconditionnelle de Brassens.